Claire Cochez
Comédienne, BORDEAUX / TOULOUSE / NANTES / PARIS
Biographie
Taille : 172 cm
Formation :
CRR, 49100 ANGERS
CRR, 33000 BORDEAUX
CRR, 44100 NANTES
Domicile : Bordeaux
Véhiculé
BIOGRAPHIE EN COURS DE CREATION
Néé le 11 mai 1994, en Alsace, où elle n'y retient rien. Seul la fameuse blague d'un alsacien : " Mon premier est une rondelle de saucisson sur un boomerang, mon deuxième est une rondelle de saucisson sur un boomerang, mon troisième est une rondelle de saucisson sur un boomerang, mon quatrième est une rondelle de saucisson sur un boomerang, mon cinquième est une rondelle de saucisson sur un boomerang et mon sixième est une rondelle de saucisson sur un boomerang, MON TOUT est une saison, laquelle ? Réponse: Le printemps, parce que les "six rondelles" sont de retour !
Et ça la fit beaucoup rire.
Adolescente révoltée par les sentiments, révoltée par son retard, par sa non compréhension des codes, par sa sexualité, par sa société, par la méchanceté par l'égoïsme et l'horreur.
Dynamique, en furie elle fit ce qu'elle eu envie ! Capricieuse, sans limites, elle ne respectait pas les règles, pas un seul code, franchis les barrières à coups de pied, visita les lieux interdits, puis ne compris pas vraiment "interdits c'est lieux là ? Mais pourquoi ?"
Elle chercha des réponses honorables et charitables, comme si justice existait ... mais aucune bonne réponse n'en découla, et balance de justice vers le mal (mâle) s’effondra.
Plus tard, elle découvrit ce qu'était aimer sans raisons, ni pour un sexe, ni carrure, ni carrière, ni argent, aimer juste pour ça pour aimer.
Grandit dans la joie et la violence sociale. Une famille nombreuse peu aisée même pas du tout. Mais réchauffée d'amour, la famille avant tout.
Eu cru enfant que l'argent fait le bonheur, tant les parents malheureux sans un sous la souciait.
Mais aimant beaucoup trop les choses qui ne valaient rien, de l'argent elle ne voulait s'en accoutumer.
Toujours sur d'elle et de ses convictions, les années passent les expériences se multiplient, ses croyances se détruisent, d'autres se forment pour se détruire à nouveau, sa culpabilité accru, ses forces s'épaississent, son énergie s'épuise... elle avait tout gobé à chaque fois la couillonne, mais elle avait tout compris cette fois si la rebelle. A force de s’entraîner à comprendre le monde, à force de questions labourées dans la tête, à force d'insomnies à chercher des réponses. Elle compris que de tout le monde qui l'entourais, ils étaient tous perdus, dans une so(m)bre époque, où le mensonge rusé vola La Vérité et l'Ordre scellant toutes les portes, les privant de lumière et de liberté.
Quand elle vit que les portes lui étaient grandes ouvertes, étonnée de se le voir accorder, elle voulu emmener ceux qu'elle aime avec elle, mais tous la tirait : "viens de notre coté". Tant la lumière rêvait de voir sa beauté, tant l'ombre avait peur de perdre sa lumière. Car l'ombre sans elle n'est rien. De même pour la lumière qui sans elle se nommerait "solitude d'été".
A 25 ans, alors, elle se trouvait coincée, dans la pelote sans fin, cherchant à joindre les deux bouts entre vivre et rêver. Elle tirait sur le fil symbolisant sa vie, entamant le chemin, s'empressant de toutes ses forces de tirer à la corde. Sa forte détermination, faite d'adrénaline, la submergera et lui fit gravir les marches trois par trois ! Puis à la centième marche quand la ligne d'arrivée apparue, sur un coussin rouge, l'anneau victoire, la médaille attendu, elle la voyait si belle si colorée.
Elle leva le regard, vie un attroupement, derrière une cage aux barreaux d'or. Tous tendant la main pour ce futile objet, s'écartelant le corps à travers les grillages pour attraper ce galet en or. Alors que leur prison était toute dorée, s'ils se la partageaient, ils seraient tous comblés. Mais dans leur bêtise de vouloir ce cailloux, ils tendirent leurs mains, s'écorchant les genoux, suppliant au "faux dieu" de le leur accorder, ne voyant pas toute la richesse à leurs pieds. Elle vit ce monde d'horreur qui était le succès, celui de voir des hommes suppliant pour la gloire. Prêt à donner leur vie quitte à raser les montagnes.
Elle prit donc le cailloux et le brisa en mille, comme du verre éclatant recouvrant toute la terre. La lumière apparue sur la terre fertile, laissant ainsi pousser toutes plantations fruitières.
...à Suivre